Conformément aux instructions de son Excellence le Président de la République concernant la promotion et la protection des droits de l‘homme, la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) et le Conseil national des droits de l'Homme (CNDH) ont signé ce lundi 27  novembre 2017 Un mémorandum d'entente  en vue de promouvoir leur coopération et renforcer les acquis en matière de protection des droits de l'Homme.

Lors de la cérémonie coprésidée par le Directeur général de la Sûreté nationale, le Général Major Abdelghani Hamel, et la présidente du CNDH, Fafa Sidi Lakhdar Benzerrouki au siège du Conseil, Monsieur Abdelghani Hamel a affirmé que ce « mémorandum intervient à la volonté des deux institutions pour renforcer les acquis dans le domaine de la protection et de la promotion des droits de l'Homme conformément à la politique clairvoyante du Président de la République, Abdelaziz Bouteflika afin d'asseoir les fondements d'un Etat de droit et consolider les garanties constitutionnelles en matière des droits de l'Homme dans le cadre de acquis de sécurité et de stabilité ».

Par ailleurs, Le Général major a fait savoir que « la signature de ce mémorandum est la concrétisation de l'une des plus grandes passerelles de coopération et de partenariat dans un domaine important de la construction de l'homme» tout en exprimant sa  volonté à travailler pour « davantage de projets consacrant les droits de l'Homme ».

Dans ce sens, Monsieur Abdelghani Hamel a fait part de l'élaboration par les services de la DGSN d'un guide de déontologie traitant « des indicateurs conformes aux normes internationales en matière de droits de l'Homme », précisant qu’Interpol avait exprimé son souhait quant à la généralisation de ce guide.

Pour sa part, Fafa Sidi Lakhdar Benzerrouki, a affirmé que ce mémorandum s'inscrivait dans le cadre de l'  « action complémentaire » entre le CNDH et les services de la Sûreté nationale pour « consacrer et promouvoir une culture des droits de l'Homme ».

Elle a souligné, en outre, les efforts déployés par les autorités publiques en termes de consécration de la culture des droits de l'Homme partant de « l'attachement accordé par le Président de la République à la promotion de ces droits ».