Informations générales

Situation géographique

Située au nord de la wilaya d’Alger, délimitée à l’est par le bassin méditerranéen, à l’ouest par les commune de Oued Koriche et d’El-Biar, au nord par la commune de la casbah au sud par celles de Sidi-M’Hamed et d’El-Mouradia.

Superficie

La ville d'Alger s'étend sur une superficie estimée à 370 hectares.

Topographie

Alger est caractérisé par une architecture en gradins avec des reliefs accidentés.


Climat

le climat d'Alger est un climat modéré

Population

La population est estimée selon les derniers sondages à 75541 habitants.

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Aspect historique

Nom historique

Ikosim" pour les Phéniciens qui veut dire << l'île aux mouettes >>. En raison des quelques << îlots >> implantés en face du port d'Alger depuis l'antiquité. transformé plus tard.

Annexée par les romains, elle devint Icosium On peut encore voir à la rue Bab-Azzoun, au n° 29 sur un pilier d'arcade et sur la façade donnant sur la rue, une pierre d'origine Romaine sur laquelle est gravée une inscription qui comporte le nom latin de "Icosium".

Vers l'année 950, le Roi Bologhine Ibn Ziri Ibn Menad Al-Senhadji lui donna lui aussi, le nom d'El-Djazaïr, par référence aux quatre îlots qui faisaient face au rivage. Elle était appelée assez souvent "Djazaïr Béni Mezghenna" qui veut dire "les îlots des Béni Mezghenna" du nom de la tribu Berbère Senhadjienne "Aït Mezghen" qui s'y été installée à l'époque.

Civilisations

Les Phéniciens

Les Phéniciens avaient établi un comptoir sur la baie d'Alger en l'an 1200 avant J.C. Ce comptoir était installé sur les îlots en face du rivage de la ville actuelle d'Alger pour faire du négoce et des échanges avec les gens du pays. Ils étaient ainsi moins exposés aux dangers. Mais, il n'est pas impossible qu'ils aient eu des habitations sur le rivage. Son nom, qu'attestent des pièces de monnaie trouvées en 1940, lui vient des << îlots >> qui faisaient face à cette ville, au niveau du port. En 202 avant notre ère, elle passa sous influence Romaine suite à l'alliance fixée entre Massinissa et Scipion contre Carthage. Le nom d'Ikosim prend sa forme romanisée, "Icosium" sous "Juba I" et "Ptolémée".

 

Les Romains

En 202 avant notre ère, elle passa sous influence Romaine suite à l'alliance fixée entre Massinissa et Scipion contre Carthage. Le nom d'Ikosim prend sa forme romanisée, "Icosium" sous "Juba I" et "Ptolémée". De nombreux objets et des textes épigraphiques attestent de la présence Romaine dans les alentours << d'Alger >>. Les Romains transmirent leur civilisation aux populations locales. Cependant, ils ne purent jamais latiniser les populations berbères, réfugiées dans les montagnes.

 

Les Vandales et les byzantins :

Après la chute de l'Empire Romain, la ville << d'Icosium >> passa sous domination Vandale, en 429. En 442, un traité entre Romains et Vandales permet aux Romains de récupérer Icosium, durant les 100 ans de présence Vandale en Maurétanie Césarienne. Après 533, la ville à peine contrôlée par les Byzantins, est attaquée par des tribus Berbères.

En 589,  Victoire de Solomon, successeur de Belisaire, sur les Berbères de l'Aurès. Durant cette période, les Byzantins parviennent à maintenir la religion chrétienne et bâtissent des églises, mais ils ne peuvent redonner à la Berbérie la prospérité de l'époque romaine.

En 622,  Les gréco-byzantins succombent sous la pression des arabes qui, propageant l'Islam, et mettent fin à l'ère de la chrétienté africaine.


En 647, Défaite des byzantins devant les Arabes.

 

La conquête musulmane: Période arabe de 647 à 1518.

 

 Le prophète Mohamed et ses successeurs entreprennent de nombreuses conquêtes et islamisent la Syrie, la Perse, la Judée, l'Egypte et arrivent à Tripoli en
647. L'islamisation du Maghreb prend alors plusieurs siècles. Les Berbères adoptèrent très vite l'islam, mais conservèrent leurs langues, du moins ceux qui habitaient les régions et les montagnes du Sud. L'implantation de la langue arabe et de l'islam s'est effectuée par les mosquées. Puis les Berbères des villes adoptèrent progressivement l'arabe.

 

La présence Ottomane

Durant les trois siècles de présence Ottomane dans le Maghreb central, c'est-à-dire de 1518 à 1830, la "Régence d'Alger" fut pratiquement dirigée par les Janissaires, milice Ottomane qui n'est pas forcément d'origine turque, installés à Alger après l'arrivée des frères Baba Aroudj et Kheir-Eddine, dit Barberousse. La réalité du pouvoir de la Régence d'Alger était sous le contrôle de cette communauté de Janissaires. A l'intérieur du pays, les Ottomans n'ont occupé que quelques postes de surveillance, compte tenu du penchant pour la mer de la part des Janissaires et de leur focalisation sur l'espace méditerranéen. Ils laissèrent les populations rurales entre les mains des féodaux et des confréries religieuses, dont les exigences les poussèrent très souvent à la révolte.

Ce manque de contacts directs avec les autochtones fit que les Ottomans, demeurèrent étrangers durant les trois siècles de leur présence, en cette terre.

 

Domination française et la bataille d'Alger (1830-1962) :

Le 14 Juin 1830, une force de 37612 Français débarqua sur la plage de Sidi Ferruch, juste au nord de la ville. Les Français ont affirmé qu'ils n'avaient pas de plan initial visant à établir une colonie, mais en 1834 ils ont officiellement annexé une grande partie de l'Algérie du Nord, faisant d'Alger la capitale de leur nouvelle colonie. La bataille d'Alger a opposé, en 1957 à Alger (département d'Alger), durant la guerre d'Algérie, la 10e division parachutiste de l'armée française aux indépendantistes algériens du Front de libération nationale (FLN). Suite aux nombreux attentats perpétrés contre la population par le FLN, le pouvoir civil délègue alors tous pouvoirs au général Massu, qui opère en dehors de tout cadre légal, pour démanteler l'organisation du FLN et ainsi mettre fin aux attentats, de janvier à mars 1957. La bataille est remportée par l'armée française qui met au jour des caches d'armes du FLN3 et obtient l'organigramme complet de l'organisation armée et peut ainsi procéder à l'arrestation de ses membres clés. Cependant, une partie de l'opinion publique métropolitaine considère cette bataille comme une défaite morale du fait de l'usage de la torture par l'armée française contre des civils afin d'obtenir ces renseignements. L'emploi de tels moyens par les émissaires de la République française soulève en effet une polémique durable en France, essentiellement en métropole qui n'est pas encore touchée par le conflit armé4, tandis qu'en Algérie elle contribue à solidariser une partie de la population autochtone autour du FLN. Les Français d'Algérie qui ont subi durant 3 mois les attentats du FLN n'oublient pas le Général Jacques Massu qui a gagné la << Bataille d'Alger >>, et le soutiennent lors de la Crise de mai 1958, appelée également Putsch d'Alger (1958), lorsqu'il crée le Comité de Salut Public5, puis une seconde fois lorsque, après avoir critiqué la politique algérienne du Général de Gaulle, il est muté en Métropole, ce qui provoque la Semaine des barricades.

 

 

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Aspect Administratif

Date de création de la commune

La commune d’Alger centre est créé par décret présidentiel du 19 Février 1977.

Président de l'assemblée populaire communale actuelle:


Le maire : BETTACHE Abdelhakim

Appartenance politique :  M.P.A /Mouvement Populaire Algérien.

Membres de l'assemblée populaire communal actuel

  • M.P.A /Mouvement Populaire Algérien:
  • CHERFAOUI Djamel
  • AOUANE Ahmed
  • AZZOUZ Rachid
  • ZENATI Ourida
  • Ait OUFELLA El Hadj
  • ABED Nabil Brahim
  • BOUHALI Aicha

 

  • Front de Libération National :
  • ADIMI Dahmane
  • BENGHALIA Mahdia
  • TOUABI Samir
  • MIMOUNE Meftah
  • AKROUM Bouzid
  • ISSIAKHEM Faiza

 

  • Parti des travailleurs :
  • MECHEDALYounes
  • BRAHIMI Saliha
  • SAIFI Abderrahmane

 

  • Rassemblement National Démocratique :
  • CHAIBDRAA Thani Nadia
  • BOUDA Abdelhak

 

  • Rassemblement pour la culture et la démocratie :
  • BELMEKKI Salah
  • BENIDIR Ouzna

 

  • Parti FEDJR Jadid :
  • BOUHAOUCHINE Abdelkader
  • BOUGUERRA Zohra

Délégations et annexes communales

 

  • Annexe communale KRIM Belkacem :

          Délégué communal : AZZOUZ Rachid (MPA)

 

  • Annexe communal des frères BELLILI :

          Délégué communal :TOUABI Samir (FLN)

 

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Tourisme et culture

Alger-Centre est bâti sur un site exceptionnel en face de la mer méditerranée. Elle est la partie moderne de la ville d'Alger construite sur le plateau au niveau de la mer, la ville antique des deys étant elle construite au niveau de la colline escarpée derrière la ville moderne couronné par la Casbah 122 mètres au dessus de la mer

Alger-Centre recèle de nombreuses œvres architecturales qui permettent à la ville d'avoir un des plus beau parc urbain de la capitale.

Publics pour la majorité, les jardins d'Alger-Centre constituent un étonnant patrimoine par leur composition, la variété de leurs essences, et par la somme de renseignements qu'ils offrent sur les périodes historiques antérieures.

Alger-Centre compte les principales rues commerçante de la capitale, avec des étals dédiées à l'artisanat.

Alger-Centre est une ville riche en découvertes. Le visiteur a le choix entre pas moins de 3 musées :

  • Musée national du Bardo.
  • Musée national d'art moderne et contemporain d'Alger (MAMA).
  • Musée national des antiquités et des arts Islamiques.

Et aussi:

  • La Grande Poste.
  • Parc de la Liberté
  • Parc Beyrouth (Musée de l’enfance).
  • Eglise du Sacré-Cœur.
  • Place Emir Abdelkader.

 

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Numéros utiles

Téléphone :

  • 023-50-81-07
  • 023-50-81-25

Fax :

  • 023-50-80-94

Adresse : 03, place Emir Abdelkader

Site web:www.apc.algercentre.dz

Email:Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.


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Site web:www.apc.algercentre.dz

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