Commune à la une

Informations générales

Situation géographique

La Commune d’El Eulma se situe à l’Est algérien dans la région des hauts plateaux. Elle est distante de 27 km du chef-lieu de la wilaya (SETIF) et 327 km de la capitale (Alger).

Superficie

La commune d'El Eulma s’étend sur une superficie de 70,04 km².

limites administratives

El Eulma est limitée des communes suivantes :

A l’Est par la commune de Bir El Arch.-

Au Nord-Est par la commune de Bellaa (البلاعة)-

Au Nord : commune de Guelta Zerga.-

A l’Ouest : commune d’Ouled Saber.-

 Au sud : commune de Bazer Sekhra.-

Population

Selon le RGPH (Recensement Général de la Population et de l’Habitat) 2008 sa population était de 153000 habitants, d’après les opérations de recensement effectuées chaque année par les services communaux le nombre actuel d’habitant serait aux alentours de 180000.ce qui donne une densité de2089h/ km².

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Aspect historique

La commune d’El Eulma a été crée en tant que commune mixte le 26 avril 1862 par décret impérial du Maréchal Pélissier (gouverneur général de l’Algérie à l’époque) sous le nom de Saint Arnaud (Maréchal français tué en mer noire en 1854 où il menait une guerre contre les russes). Elle n’était q’un simple regroupement d’environ 40 maisons

        -Le premier plan d’urbanisme d’El Eulma remonte à 1879 il abritait : l’église et sa cour, la gendarmerie, la mairie (l’église a été démoli et remplacée par la mosquée El Amir Abdelkader).

        - en 1885 l’achèvement d’une gare ferroviaire sur la liaison Constantine - Alger.

- en 1902 l’instauration d’un premier centre de police ainsi que    l’école dénommée « Ecole bleue » actuel CEM Ibn Badis

-          En 1904, la construction du grenier par Hyacinthe Mazzia.-          En 1905, la mise en place de la mosquée El atik.-                              En 1906, la mise en place d'une petite usine pour produire de l'électricité et l'éclairage public par M Couture.-     En 1907, l'achèvement du premier réseau d'eau potable de Ain-Germain par M Couture et Hyacinthe Mazzia.-          Cette période a connu une augmentation de la population en raison de l'afflux d'immigrants en provenance d'Italie, de Suisse et du Liban qui ont travaillé dans l'agriculture, le commerce et l'artisanat.-          Le 26 Juillet 1929, le maire de Saint-Arnaud pris la décision de construction du théâtre municipal et la salle des concerts. Le début des travaux aurait lieu en 1931, Il connaissait plusieurs représentations théâtrales (Dernier spectacle était en 1954 par le groupe de Youssef Wahbi et Amina Rizk intitulé « Les enfants des rues » puis il est transformé en un centre militaire durant la révolution de la libération.-                              Pendant les événements du 08 mai 1945, les citoyens de la ville d’El Eulma   organisaient des manifestations pacifiques pour revendiquer la liberté et l’indépendance, Après ces manifestations les troupes militaires ont arrêté 60 combattants  dont 02 députés représentants du peuple au sein de la mairie. Dans les jours qui ont suivi les événements, des Mercenaires du Sénégal sont arrivés à la ville (sur le nom de siligane) sont étalés la terreur et le terrorisme dans la population. La ville d’El Eulma a connu des campagnes d'abattage vaste contre les algériens et la ville a été assiégée pendant plus de 40 jours.-                                  Au cours de la révolution, Les Eulmis ont rejoint l’armé de libération nationale (ALN), la ville a subi plusieurs opérations de commandos dans les années 1955,1956 et 1957.-           La plus importante opération dans le processus anticolonial a été l'élimination de l'agent de renseignement français Lelong Robert le 7 aout 1958, après cet événement les citoyens de la ville ont connu de grandes arrestations et tortures par la colonisation française dont on comptait un nombre inconnu de martyrs qui ont été tués sous la torture et assiégèrent la ville pendant 18 jours, au cours desquels les citoyens ont vécu toutes sortes d'abus et de privation.  

En 1962 l’Algérie regagne son indépendance et la ville rejoint son nom original et authentique El Eulma  


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Aspect Administratif

 

Président de l'assemblée populaire communale actuelle:


Le maire : Lakehal Salim

Appartenance politique :  Front de Libération Nationale (FLN)

Membres de l'assemblée populaire communal actuel

L’assemblée populaire communale d’El Eulma est composée de 33 membres élus dont son président, six adjoints, six présidents de commissions permanentes et trois délégués spéciaux 

          Voici donc la liste nominative des dits membres répartis par tendances politiques issus du scrutin du 29-11-2012:

Parti  Front de Libération Nationale (FLN) :

- Lakehal Salim,

- Djellal Nacereddine,

- Messaoud Salem Toufik,

- Benghabrid Moussa,

- Douadi Abdellah,

- Benrabah Amina née Korichi,

- Charef Sarah née Mechiche

Rassemblement National Démocratique (RND) :

- Hammoudi Abdelhamid,

- Boukaaboub Seghir,

- Ali Sahraoui Amina. (ep Hemmam)

- Hacheni Tarek,

- Rouibi Sebti ,

- Regued Said,

- Merazga Meriem.

Parti EL KARAMA :

- Mansouri Bouzid,

- Guidoum Djamel,

- Adimi Ouafia,

- Khoudir Athmane,

- Saidi Noureddine,

- Boucekkine Aissa,

- Bendada Ouidad,

Alliance Algérie Verte :

- Betchine Mohammed,

- Akareb Said,

- Zabar Saida (ep Serrai ).

Parti des travailleurs (PT):

- Hendel Mohammed Salah,

- Zennoun Fayçal,

- Bouragaa Nassima.

Parti El Fajr El Jadid (PFJ) :

- Dilmi Abdelaziz,

- Hamrelain Said (décidé le 27-01-2017 et remplacé par Hameche Mohamed Laid),

-  Machene Hanane

Parti Jil Jadid :

- Djellas Rabah,

- Demdoum Nbil,

- Ouanoughi Radia (ep: Boureghda).

 

  Pour mieux servir les citoyens, la commune d’El Eulma dispose d’un personnel ambitieux, dynamique et engagé à honorer les missions dont il est chargé. Le nombre total du personnel de la commune est de 1443 dont 644 permanents et 779 contractuels.

         Quant à l’organigramme de cette institution administrative de base (APC El Eulma) il se compose de 05 directions,  11 services, 15 bureaux, et 17 sections. le tout fonctionne sous contrôle et coordination d’un secrétaire général nommé par décret présidentiel.

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Situation économique et sociale

D’après un rapport méthodologique publié par le CENEAP (Centre National d’Etudes et d’Analyses pour la Population et le Développement) signale qu’au niveau de la wilaya de SETIF et même au niveau national  la commune d’El Eulma fait partie des entités territoriales qui sur le plan des migrations inter censitaires 1987-1998 et 1998-2008 sont qualifiées de communes attractives                                             

Emploi : en 2014 la commune présente un taux d’activité de l’ordre de 48.15% (C’est –à-dire le taux de la population active âgée entre 18 et 60 ans par rapport au nombre global de population)

- le taux de chômage théorique est estimé à 8.21%

- Répartition de la population actives par secteurs :

         - commerce                   57.4%

         - Industrie                      13.9%

- Services                        9.2%

- Administration               7.9%

- BTP                              7.7%

- Agriculture                     3.8%

La commune d’El Eulma referme une zone d’activité qui s’étend sur 52.91 hectares .Elle englobe 287 lots totalement cédés  et une zone industrielle de 248 hectares repartis en 95 lots abritant

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Numéros utiles

LIEN PAGE FACEBOOK EULMA@w.apc.el.eulma

 

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Informations générales

Situation géographique

La commune de Hassi Messaoud est située à 100 km au sud-est de chef-lieu de la wilaya de Ouargla.

Superficie

La commune de Hassi Messaoud s’étend sur une superficie globale de 71237 Km2.

limites administratives

La commune de Hassi Messaoud est limitée :

Au nord par : les deux communes de Hdjira et Taibet

A l’ouest par : les communes de Hassi Ben Adellah, Ain Elbeidha et Rouissat

Au sud et au sud-est par : les communes de Tamanrasset et Bordj Omar Idris (Wilaya d’Illizi)

A l’est par : la commune de Elberma

Population

La population de Hassi Messaoud est estimée à 49276 habitant selon le dernier recensement officiel du 31/01/2017

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Aspect historique

Le nom de la ville de Hassi Messaoud est dérivé du chamelier Messaoud Rouabeh qui s’était installé dans la région en 1919 venant de la ville de metlili chaanba en quête d’eau et de pâturage.

Dès son arrivée, il a constaté la fertilité de la terre et donc il avait commencé à creuser un puit pour avoir de l’eau afin de subvenir aux besoins de sa famille.

Il a été surpris en découvrant à 20 mètres de profondeur le jaillissement d’une eau très pure jamais vue ou goutée avant. Sur ce, il a directement alerté les autorités.

Un échantillon de l’eau a été relevé par les autorités coloniales pour l’analyser, et la surprise était plus grande en découvrant les premiers gisements pétroliers en Algérie et leur mise en exploitation a démarrée depuis 1956.  


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Aspect Administratif

Suivant les exigences qui se sont imposées, la ville de Hassi Messaoud a connu une progression remarquable dans sa structuration administrative. Au lendemain de l’indépendance et pour répondre aux besoins administratifs  des habitants de la région ainsi que ceux des travailleurs des sociétés activant dans le domaine des hydrocarbures, il a été procédé à la création d’un centre industriel du Sahara (CIS) en 1959, et ce, en tant qu’un système de gestion applicable sur les regroupements se trouvant dans les wilayas de Saoura et les oasis.

En 1985 et en application de la loi N°84/09 du 04/02/1984 portant découpage administratif, la ville de Hassi Messaoud est devenue une commune régie par une assemblée populaire communale, avant d’être promue daïra d’une seule commune à la même année.

Président de l'assemblée populaire communale actuelle:

La commune de Hassi Messaoud est présidée aujourd’hui par Monsieur : Mohamed Yacine BEN SASSI.

Membres de l'assemblée populaire communal actuel

 L’assemblée populaire communale est composée de 19 élus

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Activités économique et infrastructures 

Secteur agricole :

Les expériences menées dans les années quatre-vingts au niveau des fermes typiques créées dans les deux régions de Hassi Messaoud et Kaci Taouil versées dans divers créneaux agricoles notamment la céréaliculture (blés dur) ont bien montré les potentialités de cette région et les résultats qui peuvent être réalisés.

Les sols réhabilités ont été estimés à 332.544 H.

Secteur industriel et énergétique :

La ville de Hassi Messaoud abrite  l’un des plus grands gisements pétroliers dans le monde, en conséquence, toutes les activités exercées dans la ville sont reliées directement ou indirectement aux hydrocarbures. C’est pour cela qu’on y retrouve plusieurs compagnies et entreprises nationales et internationales, publiques et privées,  spécialisées dans le forage et les services pétroliers.  

Le développement local et les infrastructures à la commune de Hassi Messaoud

Premièrement : Services publics et infrastructure de développement :

Entreprises et services publics :

La ville de Hassi Messaoud compte plusieurs entreprises fournissant des services aux citoyens, et ces entreprises sont à caractère administratif, sécuritaire et autres, on cite à titre d’exemple : 

Siège de la daïra

La commune avec deux annexes

Annexe administrative des services techniques de l’Etat

Sureté de la daïra avec deux sièges de la sureté urbaine

Brigade de la gendarmerie nationale et siège de la section territoriale de la gendarmerie nationale

Section d’intervention de la gendarmerie nationale

Deux unités de l’armée nationale populaire

Détachement de la garde communale

Unité de la protection civile

Unité de douanes algériennes

Unité d’Algérie Télécom

Trois agences d’Algérie poste

Agence mobilis, nedjma et djezzy

Et d’autres services publics de la santé, de la culture et économiques…

Secteur de l’éducation et de la formation : 

Enseignement primaire :

Nombre d’établissements scolaires : 19.

Nombre de classes : 233.

Nombre d’élèves scolarisés : 5844.

Enseignement moyen :

Nombre d’établissements scolaires : 07.

Nombre de classes : 149.

Nombre d’élèves scolarisés : 4666.

Enseignement secondaire :

Nombre d’établissements scolaires : 03.

Nombre de classes : 92.

Nombre global d’élèves scolarisés dans les trois niveaux pour l’année scolaire 2011/2012 est de : 12522 élève

Enseignement professionnel :

Centre de formation professionnel

Institut spécialisé en la formation professionnelle

Nombre de stagiaire en formation professionnelle : environs 1157 stagiaire annuellement.

Institut national spécialisé en la formation professionnelle à Hassi Messaoud

Etablissements de santé publique à Hassi Messaoud:

Un hôpital d’une capacité de 80 lits

Etablissement de santé de proximité avec deux salles de soins

Deux polycliniques

Etablissement public de santé

 

Secteur industriel et énergétique :

La société nationale des hydrocarbures SONATRACH  arrive à la tête des sociétés installées à Hassi Messaoud. Cette compagnie exerce ses activités liées à l’exploitation des champs pétroliers et gaziers au nom de l’Etat.

SONATRACH contient au niveau de Hassi Messaoud quatre directions régionales à savoir :

Direction régionale de production de barrara

Direction régionale de l’exploitation des puits à la base 24 février

Direction régionale du transport à houdh elhamra

Direction régionale du transport à Kaci Taouil

Outre ses directions régionales suscitées, SONATRACH a des filiales à savoir 

Entreprise nationale de forage

Entreprise nationale de services aux puits

Entreprise nationale des travaux aux puits

Entreprise nationale de géophysique

Entreprise nationale des gros œuvres aux puits

Entreprise nationale de génie civil

Entreprise nationale Naftal

Entreprise Naftou gaz

En plus de SONATRACH et ses filiales, il se trouve à Hassi Messaoud plusieurs compagnies relevant du secteur national privé et étranger.

A savoir :

68 entreprises et institutions publiques et nationales

338 compagnies et entreprises relevant du secteur privé national

104 compagnies et entreprises relevant du secteur privé étranger

19 entreprises relevant du secteur économique commun

Deuxièmement : Réseaux et installations de base :

Secteur du transport :

Vu son importance économique dans la région, le secteur du transport revêt d’une grande importance à Hassi Messaoud, que ce soit le transport des personnes : un nombre considérable des travailleurs des compagnies pétrolières, ou le transport des marchandises sous toutes ses formes destiné spécialement aux activités liées aux hydrocarbures.

Le secteur du transport s’avère au tant que secteur actif à travers :

Le mouvement actif du transport routier de marchandises

Le mouvement actif des bus de transport des voyageurs

Le transport aérien consiste à l’aéroport Krim Belkacem (piste d’atterrissage d’une longueur de 3012 M) qui dessert plusieurs destinations nationales (nord et sud du pays) avec 23713 voyage aller et retour pour l’année 2011, et d’autres destinations internationales avec 21925   voyage aller et retour pour la même année.

Secteur d’électricité et du gaz :

La ville de Hassi Messaoud est dotée d’un centre de production de l’énergie électrique mis en exploitation en 1998. Une fiche productive pour trois unités avec une moyenne de 123 mégawatts pour chacune.

Ce centre alimente en électricité, la zone industrielle de Hassi Messaoud et couvre les besoins de la population de la ville en cette énergie vitale.

Le reste de la production est destiné au réseau national pour couvrir le manque susceptible dans les régions limitrophes et une partie de la production est destinée à l’exportation à travers un réseau international.

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Numéros utiles 

N° de Tél : 029 74 48 03

N° de fax : 029 74 47 92

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Le site officiel de la wilaya d’Ouargla : www.wilaya-ouargla.dz

Site officiel de l’université Kasdi Merbah : www.univer-ouargla.dz

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Informations générales

Vue panoramique sur la ville de Guelma

Guelma contient 34 communes, et est le chef lieu de la wilaya dont elle porte le nom. En 1974 elle est devenue wilaya. Le siège de l'actuel APC a été bâti le 08 mai 1986. Elle est limitée au nord par les communes de Héliopolis et El-Fedjoudj, et au Sud par Bendjerah,  à l'Est Belkheir et Boumehra et à l'Ouest Hammam Debagh et Houari Boumediène, alors qu'au Nord-Ouest elle est limitée par Medjez Amar. Le ville de Guelma s'étend sur une superficie de 45 km2 et compte une population de 120.841 habitants selon les statistiques de l'année 2008, avec une densité de 2000 habitants par km2. Cela est du à la grande concentration des habitants dans le chef-lieu de la wilaya puisqu'elle est considérée comme un croisement entre les deux pôles industriel: du Nord(Annaba/Skikda) et les centres d'échanges au Sud (Oum El Bouaghi/ Tébessa). Elle est entourée par les montagnes de Maouna d'une hauteur de 1411m et Houara 1292m ainsi que Taya 1208m et Debagh 1060m.

Situation géographique

La commune de Guelma se trouve à 60 km au sud-ouest  d'Annaba, 150km des frontières de la République Tunisienne et à 537 km de la capitale Alger.

Superficie

La ville s'étend sur une superficie de 45 km2.

limites administratives

La ville est limitée au nord par les communes de Héliopolis et El-Fedjoudj, et au Sud par Bendjerah,  à l'Est Belkheir et Boumehra et à l'Ouest Hammam Debagh et Houari Boumediène, alors qu'au Nord-Ouest elle est limitée par Medjez Amar.

Population

Guelma compte une population de 120.841 habitants selon les statistiques de l'année 2008, avec une densité de 2000 habitants par km2.

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Aspect historique

 

La ville numide s'appelait Malacca et fut importante sous le règne de  Massinissa. Des inscriptions libyques trouvées à Guelma prouvent que la région a été civilisée bien avant l'arrivée des  Carthaginois ou des  Romains; des mentions latines attestent que Guelma portait déjà le nom de « Calama », bien que ce nom soit probablement d'origine  Phénicienne. L'histoire de Guelma est riche en évènements, et son territoire est parsemé de sites.

 

 Salluste  rapporte les récits des batailles que  Jugurtha y livra en  110 a.v j-c  face aux troupes  Romaines; il aurait vaincu, non loin de la ville de Guelma, précisément dans la mystérieuse  Suthul, le général romain  Postinius Albinus. L'antique Calama devint un centre urbain important au cours du  1er siècle de notre ère. Calama est élevée au rang de  municipe sous l'empereur  Trajan et patronnée par  Vibia Aurelia Sabina, dernière fille de  Marc Aurèle, et sœur fictive de l'empereur  Septième Sévère lorsque ce dernier se proclama fils adoptif de Marc Aurèle (fin du iie siècle).

Calama fut avec  Setifis ( Sétif) et  Hippo-Rigius ( Annaba), un des greniers de  Rome.

Au cours de l'époque chrétienne , Calama a eu comme  2vèque Possidius  qui était aussi biographe de  Saint Augustin et appartenait à la province ecclésiastique de  Numidie. D’ailleurs  Saint Augustin et  Donatus évoquent la prospérité de cette ville. Dès l'invasion des  Vandales qui détruisit la ville,  Possidius alla se réfugier à Hippo-Reggius et Calama tomba au pouvoir de  Genséric. Après la reconquête de l'Afrique du Nord par les  Byzantins, Solomon, général de  Justinien, y fit construire une forteresse entre 539 et 544.

Vint ensuite l'époque de la civilisation arabo-musulmane, Calama est appelée désormais « Guelma ». Selon  Ibn Khaldoun, des tribus arabes, en particulier les  Banu Hilal, s'étaient déjà installées dans cette région attractive.

L'époque ottomane, quant à elle, n'a pas connu de changements radicaux dans le paysage socioculturel de la ville. Cependant, elle a laissé aussi des traces, ne serait-ce que par quelques noms de famille qu’on retrouve aujourd’hui.

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Aspect Administratif

 

Président de l'assemblée populaire communale actuelle:

La commune de Guelma est présidée aujourd’hui par Monsieur : Hamlaoui Ahsen.

Membres de l'assemblée populaire communal actuel

 L’assemblée populaire communale est composée de 33 élus

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Activités économique  

De par sa situation géographique et ses infrastructures de bases ainsi que ses potentialités, la ville de Guelma possède des qualifications lui permettant de devenir un pôle de développement durable en raison de sa zone de l’industrie agroalimentaire et 6 autres zones de différentes activités ainsi que une autre zone touristique.

La ville de Guelma la capitale de wilaya est un pôle important pour les opportunités d’investissement dans les différents domaines notamment agricole et pastoral. Elle occupe la plus grande superficie dans toute la wilaya, avec un climat modéré et sub-humide au centre et au Nord et semi-aride vers le Sud. Ce climat est doux et pluvieux en hiver 450mm et chaud en été 35.4°. La récolte des céréales durant la moisson dernière a enregistré un taux élevé ainsi que la récolte de la pomme de terre avec une production supérieure à 474000 quintaux même moisson. Oued Seybouse qui joue un rôle important dans l’hydrogéologie de la région traverse la plaine Guelma - Bouchegouf sur plus de 45 Km du Sud au Nord. Son apport total est estimé à 408 millions m3/an. On ne manque pas de citer le secteur de l’industrie à l’instar de l’industrie mécanique consiste au Complexe de fabrication cycles et cyclomoteurs. L’industrue agroalimentaire ; la société de Raffinerie de sucre SPA SORASUCRE, Unité de céramique et vaisselle (ETER- ex ECVE) La plus grande capacité de production en Algérie'.

Aspect touristique 

Il est à noter que La ville de Guelma possède un riche patrimoine très varié vu les civilisations qui en succédaient, et participaient à la construction de son actuel patrimoine culturel, on cite à titre d’exemple La construction du théâtre est due à  l'évergétisme d'une certaine Annia Aelia Restituta  dont deux inscriptions latines  nous rappellent qu'elle dépensa 400 000  sesterces pour le plaisir de ses concitoyens. Ces derniers honorèrent la généreuse donatrice en lui élevant cinq statues. AeliaRestituta est qualifiée dans les inscriptions de flaminica augustorum, c'est-à-dire de prêtresse des deux Augustes, qui peuvent être soit  Marc Aurèle et  Verus, soit  Septième Sévère  et  Caracalla, ce qui date le théâtre du tout début du IIIE siècle.

Servant par la suite de carrière pour la construction de la ville, le monument est totalement démantelé. Il est reconstitué entre  1902  et  1918.

Le théâtre abrite le musée romain de la ville de  Guelma.On ne peut pas passer à Guelma sans citer les structures culturelles importantes à savoir le théâtre communal Mahmoud TERKI et la maison de la culture Abdelmadjid Echafai, Le mémorial ou Maqâm echchahid qui contient le musée de El-Moudjahid et des centre culturels de la commune. Les sources thermales et sites archéologiques se trouvant sur le territoire de cette ville témoignent de ses potentialités touristiques très importantes.

Monuments de la ville 

L'une des plus vieilles mosquées de la ville est la mosquée El Atik, édifiée en 1824, à la fin de l'ère ottomane, inaugurée au début de l'occupation française, en 1852. Elle est située au centre de la ville, rue Malika-Bouzit.
L'établissement offre les commodités suivantes : 3 salles de prière pour les hommes, 1 salle pour les femmes, une aile pour l'enseignement coranique. Elle peut contenir 900 fidèles. Cette institution a eu un rôle important au cours de la Révolution de Novembre sous l'égide du défunt cheikh Zouheir Ezzahiri de l'association des Oulémas et continue à ce jour de former notre jeunesse aux valeurs islamiques. En outre, la région de Guelma a connu à travers son histoire l'émergence de nombreuses zaouias qui ont contribué à préserver son identité.

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Numéros utiles 

N° de Tél : 037 26 75 49 

N° de fax : 037 26 75 53 

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Lire plus

Le site officiel de la wilaya de Guelma :http://wilaya-guelma.dz/ 

La page facebook officielle: https://www.facebook.com/24.WilayaGuelma.WG/ 

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Informations générales

Situation géographique

Située au nord de la wilaya d’Alger, délimitée à l’est par le bassin méditerranéen, à l’ouest par les commune de Oued Koriche et d’El-Biar, au nord par la commune de la casbah au sud par celles de Sidi-M’Hamed et d’El-Mouradia.

Superficie

La ville d'Alger s'étend sur une superficie estimée à 370 hectares.

Topographie

Alger est caractérisé par une architecture en gradins avec des reliefs accidentés.


Climat

le climat d'Alger est un climat modéré

Population

La population est estimée selon les derniers sondages à 75541 habitants.

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Aspect historique

Nom historique

Ikosim" pour les Phéniciens qui veut dire << l'île aux mouettes >>. En raison des quelques << îlots >> implantés en face du port d'Alger depuis l'antiquité. transformé plus tard.

Annexée par les romains, elle devint Icosium On peut encore voir à la rue Bab-Azzoun, au n° 29 sur un pilier d'arcade et sur la façade donnant sur la rue, une pierre d'origine Romaine sur laquelle est gravée une inscription qui comporte le nom latin de "Icosium".

Vers l'année 950, le Roi Bologhine Ibn Ziri Ibn Menad Al-Senhadji lui donna lui aussi, le nom d'El-Djazaïr, par référence aux quatre îlots qui faisaient face au rivage. Elle était appelée assez souvent "Djazaïr Béni Mezghenna" qui veut dire "les îlots des Béni Mezghenna" du nom de la tribu Berbère Senhadjienne "Aït Mezghen" qui s'y été installée à l'époque.

Civilisations

Les Phéniciens

Les Phéniciens avaient établi un comptoir sur la baie d'Alger en l'an 1200 avant J.C. Ce comptoir était installé sur les îlots en face du rivage de la ville actuelle d'Alger pour faire du négoce et des échanges avec les gens du pays. Ils étaient ainsi moins exposés aux dangers. Mais, il n'est pas impossible qu'ils aient eu des habitations sur le rivage. Son nom, qu'attestent des pièces de monnaie trouvées en 1940, lui vient des << îlots >> qui faisaient face à cette ville, au niveau du port. En 202 avant notre ère, elle passa sous influence Romaine suite à l'alliance fixée entre Massinissa et Scipion contre Carthage. Le nom d'Ikosim prend sa forme romanisée, "Icosium" sous "Juba I" et "Ptolémée".

 

Les Romains

En 202 avant notre ère, elle passa sous influence Romaine suite à l'alliance fixée entre Massinissa et Scipion contre Carthage. Le nom d'Ikosim prend sa forme romanisée, "Icosium" sous "Juba I" et "Ptolémée". De nombreux objets et des textes épigraphiques attestent de la présence Romaine dans les alentours << d'Alger >>. Les Romains transmirent leur civilisation aux populations locales. Cependant, ils ne purent jamais latiniser les populations berbères, réfugiées dans les montagnes.

 

Les Vandales et les byzantins :

Après la chute de l'Empire Romain, la ville << d'Icosium >> passa sous domination Vandale, en 429. En 442, un traité entre Romains et Vandales permet aux Romains de récupérer Icosium, durant les 100 ans de présence Vandale en Maurétanie Césarienne. Après 533, la ville à peine contrôlée par les Byzantins, est attaquée par des tribus Berbères.

En 589,  Victoire de Solomon, successeur de Belisaire, sur les Berbères de l'Aurès. Durant cette période, les Byzantins parviennent à maintenir la religion chrétienne et bâtissent des églises, mais ils ne peuvent redonner à la Berbérie la prospérité de l'époque romaine.

En 622,  Les gréco-byzantins succombent sous la pression des arabes qui, propageant l'Islam, et mettent fin à l'ère de la chrétienté africaine.


En 647, Défaite des byzantins devant les Arabes.

 

La conquête musulmane: Période arabe de 647 à 1518.

 

 Le prophète Mohamed et ses successeurs entreprennent de nombreuses conquêtes et islamisent la Syrie, la Perse, la Judée, l'Egypte et arrivent à Tripoli en
647. L'islamisation du Maghreb prend alors plusieurs siècles. Les Berbères adoptèrent très vite l'islam, mais conservèrent leurs langues, du moins ceux qui habitaient les régions et les montagnes du Sud. L'implantation de la langue arabe et de l'islam s'est effectuée par les mosquées. Puis les Berbères des villes adoptèrent progressivement l'arabe.

 

La présence Ottomane

Durant les trois siècles de présence Ottomane dans le Maghreb central, c'est-à-dire de 1518 à 1830, la "Régence d'Alger" fut pratiquement dirigée par les Janissaires, milice Ottomane qui n'est pas forcément d'origine turque, installés à Alger après l'arrivée des frères Baba Aroudj et Kheir-Eddine, dit Barberousse. La réalité du pouvoir de la Régence d'Alger était sous le contrôle de cette communauté de Janissaires. A l'intérieur du pays, les Ottomans n'ont occupé que quelques postes de surveillance, compte tenu du penchant pour la mer de la part des Janissaires et de leur focalisation sur l'espace méditerranéen. Ils laissèrent les populations rurales entre les mains des féodaux et des confréries religieuses, dont les exigences les poussèrent très souvent à la révolte.

Ce manque de contacts directs avec les autochtones fit que les Ottomans, demeurèrent étrangers durant les trois siècles de leur présence, en cette terre.

 

Domination française et la bataille d'Alger (1830-1962) :

Le 14 Juin 1830, une force de 37612 Français débarqua sur la plage de Sidi Ferruch, juste au nord de la ville. Les Français ont affirmé qu'ils n'avaient pas de plan initial visant à établir une colonie, mais en 1834 ils ont officiellement annexé une grande partie de l'Algérie du Nord, faisant d'Alger la capitale de leur nouvelle colonie. La bataille d'Alger a opposé, en 1957 à Alger (département d'Alger), durant la guerre d'Algérie, la 10e division parachutiste de l'armée française aux indépendantistes algériens du Front de libération nationale (FLN). Suite aux nombreux attentats perpétrés contre la population par le FLN, le pouvoir civil délègue alors tous pouvoirs au général Massu, qui opère en dehors de tout cadre légal, pour démanteler l'organisation du FLN et ainsi mettre fin aux attentats, de janvier à mars 1957. La bataille est remportée par l'armée française qui met au jour des caches d'armes du FLN3 et obtient l'organigramme complet de l'organisation armée et peut ainsi procéder à l'arrestation de ses membres clés. Cependant, une partie de l'opinion publique métropolitaine considère cette bataille comme une défaite morale du fait de l'usage de la torture par l'armée française contre des civils afin d'obtenir ces renseignements. L'emploi de tels moyens par les émissaires de la République française soulève en effet une polémique durable en France, essentiellement en métropole qui n'est pas encore touchée par le conflit armé4, tandis qu'en Algérie elle contribue à solidariser une partie de la population autochtone autour du FLN. Les Français d'Algérie qui ont subi durant 3 mois les attentats du FLN n'oublient pas le Général Jacques Massu qui a gagné la << Bataille d'Alger >>, et le soutiennent lors de la Crise de mai 1958, appelée également Putsch d'Alger (1958), lorsqu'il crée le Comité de Salut Public5, puis une seconde fois lorsque, après avoir critiqué la politique algérienne du Général de Gaulle, il est muté en Métropole, ce qui provoque la Semaine des barricades.

 

 

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Aspect Administratif

Date de création de la commune

La commune d’Alger centre est créé par décret présidentiel du 19 Février 1977.

Président de l'assemblée populaire communale actuelle:


Le maire : BETTACHE Abdelhakim

Appartenance politique :  M.P.A /Mouvement Populaire Algérien.

Membres de l'assemblée populaire communal actuel

  • M.P.A /Mouvement Populaire Algérien:
  • CHERFAOUI Djamel
  • AOUANE Ahmed
  • AZZOUZ Rachid
  • ZENATI Ourida
  • Ait OUFELLA El Hadj
  • ABED Nabil Brahim
  • BOUHALI Aicha

 

  • Front de Libération National :
  • ADIMI Dahmane
  • BENGHALIA Mahdia
  • TOUABI Samir
  • MIMOUNE Meftah
  • AKROUM Bouzid
  • ISSIAKHEM Faiza

 

  • Parti des travailleurs :
  • MECHEDALYounes
  • BRAHIMI Saliha
  • SAIFI Abderrahmane

 

  • Rassemblement National Démocratique :
  • CHAIBDRAA Thani Nadia
  • BOUDA Abdelhak

 

  • Rassemblement pour la culture et la démocratie :
  • BELMEKKI Salah
  • BENIDIR Ouzna

 

  • Parti FEDJR Jadid :
  • BOUHAOUCHINE Abdelkader
  • BOUGUERRA Zohra

Délégations et annexes communales

 

  • Annexe communale KRIM Belkacem :

          Délégué communal : AZZOUZ Rachid (MPA)

 

  • Annexe communal des frères BELLILI :

          Délégué communal :TOUABI Samir (FLN)

 

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Tourisme et culture

Alger-Centre est bâti sur un site exceptionnel en face de la mer méditerranée. Elle est la partie moderne de la ville d'Alger construite sur le plateau au niveau de la mer, la ville antique des deys étant elle construite au niveau de la colline escarpée derrière la ville moderne couronné par la Casbah 122 mètres au dessus de la mer

Alger-Centre recèle de nombreuses œvres architecturales qui permettent à la ville d'avoir un des plus beau parc urbain de la capitale.

Publics pour la majorité, les jardins d'Alger-Centre constituent un étonnant patrimoine par leur composition, la variété de leurs essences, et par la somme de renseignements qu'ils offrent sur les périodes historiques antérieures.

Alger-Centre compte les principales rues commerçante de la capitale, avec des étals dédiées à l'artisanat.

Alger-Centre est une ville riche en découvertes. Le visiteur a le choix entre pas moins de 3 musées :

  • Musée national du Bardo.
  • Musée national d'art moderne et contemporain d'Alger (MAMA).
  • Musée national des antiquités et des arts Islamiques.

Et aussi:

  • La Grande Poste.
  • Parc de la Liberté
  • Parc Beyrouth (Musée de l’enfance).
  • Eglise du Sacré-Cœur.
  • Place Emir Abdelkader.

 

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Numéros utiles

Téléphone :

  • 023-50-81-07
  • 023-50-81-25

Fax :

  • 023-50-80-94

Adresse : 03, place Emir Abdelkader

Site web:www.apc.algercentre.dz

Email:Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.


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Site web:www.apc.algercentre.dz

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Informations générales

Situation géographique


La ville de Sétif est située dans l'Est Algérien, dans la région des hauts plateaux, elle est distancé de la Capitale Alger de 300 Kms, et s'élève à 1100 m d'altitude.
La ville de Sétif est située dans la partie centrale de la Wilaya limitée  au nord  par la commune de OURICIA, à l’est par la commune de OULED SABER, à l’ouest  par la commune de MEZLOUG et AIN ARNET,  au sud par la commune de GUEDJEL.
Elle occupe une position prédominante parmi les villes des hauts plateaux de l'Est, ce qui fait d'elle leur capitale.
Elle constitue également un point de passage d'une grande importance du fait qu'elle est traversée par la route Nationale N° 5, et récemment par l'autoroute Est Ouest, et par la route nationale N° 09 qui relie Bejaia à Sétif. A cela s'ajoute le fait qu'elle sert de lieu de transit aux convois de marchandises provenant du sud et qui se dirigent vers les ports de Bejaia et de Jijel, de plus, elle dispose d'un aéroport ouvert au réseau tant National qu'International.

 Superficie


La ville  de Sétif s'étend sur une superficie estimée à 127.3 Km2

Topographie


La structure naturelle de la ville de Sétif caractérisée par  la non  homogénéité parce qu'elle se situe entre deux régions différentes l’atlas tellien dans le nord et la chaîne du désert dans le sud, et la région des plaines au milieu, cette diversité fait de la ville de Sétif, en particulier  une région caractérisée  par la largeur et la hauteur allant a  1000 mètres.

Climat


De nombreux facteurs interviennent pour déterminer le climat de la ville de Sétif, et qui sont

  •  L'altitude estimée à 1100 m
  •  L'éloignement de 100 Kms de la mer méditerranée
  • Sa situation sur les hauts plateaux de l'Est et le fait qu'elle soit, bien sûr,entourée de montagnes,

La conjugaison de ces facteurs fait que la wilaya de Sétif jouit d'un climat continental semi- aride se caractérisant par des étés chauds et secs et des hivers pluvieux et froids. La région enregistre en hiver une importante pluviométrie, mais qui n’est pas uniforme pour toutes les zones, en effet, si la zone du Nord reçoit 700 mm annuellement, la zone des hauts plateaux ne reçoit que 400mm par an.

Population

Recensement de la population de la ville de Sétif était  288 461 en 2008 . La population est estimée d'environ 410.000 personnes pour l'an 2015 .

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Aspect historique

Nom historique


Sitifis releva du royaume de Maurétanie, attribué successivement à Bocchus puis Boccuris, Juba II et enfin Ptolémée IV, assassiné à Lugdunum à l'instigation de Caracalla.

Civilisations


Par sa situation stratégique, Sitifis intéressa Nerva qui y installa dès 96 une colonie de vétérans, Colonia Nerviana Augusta Martialis Veteranorum Sitifensium. Claude réduisit la Maurétanie en province romaine, la divisa en deux, et rattacha Sétif à la nouvelle Maurétanie Césarienne, capitale Césarée/Cherchell. En 290, Sétif devient capitale de la Maurétanie Sitifienne (actuelle Algérie orientale), détachée de la Maurétanie Césarienne. La nouvelle province relève alors du diocèse d'Afrique relevant lui-même de la préfecture d'Italie.
La région de Sétif est un des greniers à blé de la Rome antique : Caput Saltus Horreorum (aujourd'hui Aïn-Zada) en est le siège.
Préludant à la chute de l'Empire romain d'Occident en 476, un peuple germanique, les Vandales, menés par leur roi Genséric, (427 - janv. 477), passèrent d'Espagne en Afrique, en l'an 429, à la demande du gouverneur romain.
En 531, le roi des Vandales, Hildéric, fut renversé par l'usurpateur Gélimer, donnant à l’empereur romain d’Orient Justinien, anxieux de restaurer l’Empire romain, un prétexte d'intervention.
Parti de Byzance (Constantinople/Istanbul), son général Bélisaire profita de soulèvements en Tripolitaine et du concours des Maures, qui lui permirent de prendre Carthage (533) puis Gélimer lui-même (534). Les Byzantins trouvèrent à Sitifis, une population réduite, du fait des prédations vandales. En 539, Sitifis redevint capitale d'une province « romaine » byzantine : la Mauritanie Première. À cette époque, Solomon édifia l'enceinte de la forteresse byzantine, dont les murs Ouest et Sud sont encore visibles.
En l'an 27 de l'Hégire (647 après J.C) eut lieu  el fath el islami. Lors du triomphe de la doctrine Chiite, des missionnaires partis de l'orient travaillent à gagner des prosélytes (nouveaux convertis) à la cause d'Obeide Allah qui aspirait à l'imamat, c'est à dire à l'héritage de l'autorité temporelle et spirituelle de Mohamed dont il se prétendait le descendant. Un de ces missionnaires Abou Abdellah qui avait trouvé des adeptes chez des berbères Kotama de la petite Kabylie mit le siège devant Sétif. La place finit par capituler et fut ruinée de fond en comble, la muraille qui l'entourait fut détruite en l'an 904.

De grands états berbères se constituèrent et même en 972, El Moezz issu de la tribu des Kotama de la région de Béni Aziz située à quelques kilomètres de Sétif, dernier Emir fatimide de Kairouan fut appelé au trône d'Egypte et quitta l'Afrique du nord. L'arrivée des Béni-Hillal, lancée vers 1050 de la haute Egypte contre les princes berbères Hammadites qui s'étaient déclarés indépendants, triomphe d'abord de toutes les résistances et s'établit en dominatrice dans les plaines. Seule la grande bataille qu'à livré les Almohades contre les Hillaliens témoigne de l'importance de SETIF dans le nouveau pouvoir du royaume qui unifie le pouvoir musulman au maghreb.
Au bas du moyen âge, Sétif a continué à relier les grandes villes musulmanes de Fès à Tunis et de Tunis à l'orient.
L'intensité des changements politiques et économiques des pouvoirs à l'époque des royaumes musulmans à causé la décadence urbaine de la ville de Setif et a orienté l'implantation de nouvelles capitales a proximité d'elle. Sétif décrite comme petite ville à la fin du 15ème siècle, été rattaché au royaume Hafside à Bougie.
A l'époque turque, Sétif était dominée par les grandes familles locales dont les Ameurs était la grande fraction et gouverné par les chefs Turques envoyés par les Beys de Constantine.
Cette organisation nomaniale a laissé la ville de Sétif loin des pouvoirs politiques et a mené la marginalisation de la ville jusqu'à l'arrivée des troupes françaises le 15 décembre 1848 par le Général Galbois qui reconnut la ville, mais ne s'y installa que l'année suivante .
De 1870 à 1930, le système colonial commençait à se stabiliser au seul profit de la population européenne. Ce n'est qu'à partir de cette date que des groupements qui refusent l'inégalité se multiplient et étendent leur influence.
Au cours de la même période se produit un mouvement de renouveau culturel et religieux appelé la Nahda sous la direction de Cheikh Ibn Badis. Son action trouve un immense écho auprès de la population musulmane de la région de Sétif, qui ne cessait de réclamer des réformes.

Les dates importantes de la résistance populaire armée

Massacre du 8 mai 1945
Le 08 mai 1945, Sétif est le point de départ d'une série d'émeutes nationalistes, à partir de Abu Dhar al-Ghafari, mosquée dans le quartier de la gare, réprimées dans le sang par les autorités coloniales françaises.  

 

La révolution du  1er  Novembre 1954
En 1954, lors du déclenchement de la révolution, la ville de Sétif  a été marqué par les événements suivants :
* Opération de commando contre le policier Benton en 1956,
*Elimination du brigadier Ferrand en 1957,
* Éliminez en 1958 du docteur kanaba membre de l’organisation la main,
* Clash à la gare dans le quartier Tlidjan, 1960,
* Délivrance des Condamnés à mort en 1961,
* La bataille du marche de la ville en 1962.
La ville de Sétif a offert de nombreux martyrs dont : bouchareb roumila / harchi masaouda / zarrougui kheira / sebti naima / narwal zouina / …. / mohammed kerouani / sheikh el aifa …

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Aspect Administratif

Date de création de la commune

Dés le début de l’indépendance le 05 juillet 1962

Président de l'assemblée populaire communal actuel:


Le maire : Ouahrani Nacereddine,  44 ans
Formation : Etudes en sciences médicales ( Médecin )
Appartenance politique : Front de Libération National (FLN)

Membres de l'assemblée populaire communal actuel


* Front de Lliberation National *
Ouahrani nacereddine / rahmani hamadi / latreche djoubeir / mehnnaoui khaled / amrani farid / latreche salah / boukhrissa mounir / bella mohammed / belbacha hamdi / salhi abdeaaziz / amoura araslene / fenai manel / guamache souad / serrar meriem / maiza sabrina / benyeles samia

* Mouvement El Infitah *
Nafir lakhder abderzak / mehnnaoui mohamed / guessas abdelmalek / kharchi fatah / ghedir salah eddine / meskine lahcene / azaz radia / taleb amel

* Alliance Nationale Républicaine *
Brarma lahcene / brahimi abdelkarim / aggoun saad / boureghda leila / halati abdelhamid

* Alliance Algérie Verte *
Gharou fateh / kebaili abdelaziz / smara abdelghani / abbes ouafa

* Rassemblement National Démocratique *
Aribi djamel / boukhraissa fouzi / allache kamel / bella soraya

* Front de l’Algérie Nouvelle *
Laala khalfa / zalagui el hadi / mekhiche lila

* Parti des Travailleurs *
Hanchour faycal / guettaf lila / habbache belkacem

Délégations et annexes communales


La commune de setif comprend 12 annexes:
Sétif centre ville / Cite Elmoustakbel / Cite yahiaoui / 1 novembre / Bouaroua ( mazaache mohammed tayeb ) / Hidhab / El hassi / Ein triq / El baz / Chouf lakdad / sheikh el aifa / tlidjan .
La commune de Sétif est en train d’achever un avant projet de 12 délégations..

 

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Activité  économique

La Wilaya de Sétif possède un potentiel en sol assez important, une superficie agricole de 360.968,07 hectares et dont 23.994,64 hectares de terres irriguées. Cette agriculture repose essentiellement sur la céréaliculture. S'ajoutent quelques industries diverses dans la transformation alimentaire, textile, et matériaux de construction.
La Wilaya de Sétif recèle un important potentiel touristique constitué par le nombre important de sources thermales ainsi que des sites archéologiques et naturels .
La Communication : Par sa position géographique et le réseau routier dont elle dispose. Elle relie les espaces dynamiques à l'Est Constantine à l'Ouest Alger au Sud Est la Wilaya de Batna au Nord les ports de Jijel et de Bejaia. En outre la Wilaya est traversée par une ligne de chemin de fer de 83 Kms soit 20% de la liaison Alger - Constantine.
Les Moyens Humains : La Wilaya possède un important potentiel de formation presque 9.000 postes de formation professionnelle et spécialisée qui peuvent être réadaptés au contexte actuel, et de deux pôles universitaires avec 5.249 étudiants ; ainsi les demandeurs d'emploi se présenteront sur le marché de travail avec une qualification diversifiée et de plus en plus élevée.

Contraintes :
1. Contraintes naturelles:  faiblesse et irrégularité de la pluviométrie • importance des gelées • fréquence des vents chauds "sirocco" . Ces éléments ont des effets sur la végétation et les ressources en eau et agissent sur les rendements agricoles.  Difficulté de communication dans la zone montagneuse; compte tenu de la configuration topographique de ces zones. • Faiblesse de la mobilisation des eaux superficielles en raison de la configuration géomorphologique de ses bassins versants dont les ruissellements se font à l'extérieur de la Wilaya.
2. Contraintes économiques : Elévation des coûts des investissements dans les régions accidentés de la zone montagneuse.

Agriculture

a) L'élevage ovin est très répandu dans la région de Sétif. L'effectif ovin représente environ 85 % de l'effectif global avec environ 90 000 brebis .
b) L'élevage bovin est très développé dans les zones périurbaines les plus favorables où l'on observe des cultures fourragères irriguées ou des prairies le long des oueds qui traversent l'agglomération du nord au sud. Ils représentent environ 15 % du total des effectifs gros bétail de la commune.
c) L'élevage caprin seul est plus répandu loin de la ville, dans les zones boisées et accidentées. Dans ces élevages périphériques, le caprin est associé aux ovins; en revanche, la taille des effectifs est très faible et elle ne dépasse pas 10 têtes par éleveur.
d) L'élevage de volailles . L'élevage de la poule pondeuse occupe près de 62 % des structures de cette activité, suivi de l'élevage du poulet de chair.
e) L'élevage apicole  est très peu présent dans le paysage agricole de Sétif. Il ne constitue, le plus souvent, qu'une activité de diversification auprès des agriculteurs.  

Industrie


La ville de Sétif s’étend sur une superficie de 127 km², regroupant une importante population, estimée à plus de  41.0000 habitants. Elle représente la deuxième wilaya en Algérie au niveau démographique, après la wilaya d’Alger. Par ailleurs, la ville de Sétif est dotée d’une base industrielle tournée essentiellement vers la plasturgie, l’agroalimentaire et les matériaux de construction. C’est ainsi que Sétif figure parmi les cinq premières zones pilotes devant accueillir les futures ZIDI : Zones Intégrées de Développement Industriel.
L’activité commerciale est également très dynamique avec plus de 12 000 PME, ce qui place la ville de Sétif au deuxième rang national, après la wilaya d’Alger. Présence de plus en plus conséquente d'entreprises chinoises, espagnoles, coréennes, allemandes et italiennes et française. 

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Tourisme et culture

 Réseau aéroportuaire 

La wilaya de Sétif dispose d’un aéroport national  et international .
La wilaya de Sétif se situe à proximité du port de Bejaia et de Jijel (110 km et 130 km).

Tourisme culturel 


Ce secteur constituerait également un centre d’intérêt du fait que la ville de Sétif dispose d’un héritage culturel inestimable à travers ses sites archéologiques tel que :
• La nécropole orientale romaine
• Le quartier du temple
• Le quartier des basiliques
• La muraille byzantine
• La citadelle byzantine
• Le mausolée de Scipion de l’africain
• Le musée national d’archéologie de Sétif
Aïn El Fouara, située au centre ville de Sétif, constitue une représentation artistique imposante mais incontournable au regard du visiteur tout comme d’ailleurs celui, coutumier, du Sétifien. Un œuvre de Saint Vidal construite en 1898.

Le musée national d'Archéologie et le cimetière Sidi El Khier valent également le détour.
La ville compte aussi de nombreux jardins à découvrir : le jardin Reffaoui ex-Baral, le jardin Emir Abdelkader, le jardin Chellal et la forêt de Zenadia.

 

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Numéros utiles

Téléphone : 036512562 / 63 / 64

Fax : 036512756 / 036512556

Adresse : rue de l’armée de libération national ( cite bel air )

email : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Page facebook : https : // www.facebook.com/ بلدية سطيف الأمانة العامة

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