Le Ministre de l'Intérieur des Collectivités Locales et de l'Aménagement du Territoire Monsieur Noureddine Bedoui a répondu ce jeudi 08 novembre 2018 à deux questions orles à l'Assemblée Populaire Nationale , la première relative au décret exécutif n 306-91 du 24 aout fixant la liste des communes animées par chaque chef de daïra et son application sur le terrain, et al deuxième relative à l'amélioration de la qualité du service public et la facilitation des procédures administratives au profit des citoyens.

Dans sa réponse à la première question, Monsieur le Ministre a souligné que les dispositions décret exécutif n 306-91 du 24 aout sont appliqués sur le terrain et que les services administratifs nécessaires au citoyen sont disponible et garanti au niveau des communes sur le territoire national, et ce, dans le cadre de la modernisation de l'administration public et son rapprochement du citoyen afin d'atteindre plus de décentralisation dans la gestion du service public.

Monsieur le Ministre a également affirmé que le dernier mouvement opéré au niveau de l'administration locale par son Excellence le Président de la république Monsieur Abdelaziz Bouteflika a permit de rehausser le taux de représentativité féminine dans les postes de responsabilité au niveau des collectivités locales, puisque actuellement on recense 50 cheffes de daïras , dont 15 ont été promu à la faveur du dernier mouvement.

Dans ce cadre Monsieur le Ministre a indiqué que services veillent conformément aux instructions de son Excellence le Président de la République a entamer l'intégration de réformes structurelles visant l'élaboration de nouveaux modes de gestion caractérisés par plus de rapidité et d'efficacité et de transparence à travers l'introduction d'outils modernes dans la gestion du service public, et ce, en mettant en service une administration virtuelle à même d'éliminer tout les obstacles notamment le transfert de toutes les procédures administratives vers les communes.

En ce qui concerne la deuxième question , le Ministre a affirmé que le département de l'Intérieur en coordination avec celui des affaires Etrangères est intervenu pour prouver la légalité et la véracité des documents d'état-civil portant la mention "bis" sur la base des dispositions du code de l'état-civil, et dans le but de prendre en charge les doléances des citoyens dans ce cadre, les autorités Algériennes ont informé les autorités françaises que la mention "bis" ne représente aucune violation ni problème juridique ou organisationnel dans le code d'état-civil Algérien, en réponse les autorités françaises ont émit une note datée du 11 juin 2018, par laquelle les documents d'état-civil algérien portant la mention "bis" ont été reconnus  conforme, et que ces documents délivrés de manière réglementaire, ajoutant que les citoyens on tété informés par  le biais des différents canaux de communication du Ministère.